The Mount of the Written Stones and the Guardians

 the crazy woods

 

 

Le mont des pierres qui écrivent et les guardiens

Les fous bois!

 

28/05/2017

perello, Catalunya


Le mont des pierres qui écrivent!

 

Il n'y a pas de lecture sans un parchemin annonçant un trésor

Sans Une écorse ou une peau montrant l'envers du décors

Où s'écrira ce qu'on ne sait pas

Sur l'autre versant de la mort.

.

Sur les traces d 'une histoire ou sur les traces du gibier

C'est toujours le même chasseur et son histoire

en quête d'une fin ou d'une mort par qui il vivra et dira.

 

Sur le mont les pierres écrivent

Mais qui les lira?

Leurs signes sont trop libre ou ivre pour les comprendre

Lorsqu'on dit tout on dit n'importe quoi

Et On n'a rien dit!

Pour dire quelque chose ne faut il pas en taire une autre?

Et pour écrire une histoire ne faut il pas en inventer une autre?

 

Le mont des pierres qui écrivent a éparpillé le sens dans le puzzle des sentiers

Le voyageur de passage n'en connaît pas le fil de lecture

Par le but à atteindre qu'il se propose

n'a t il pas perdu le sens et l'unité de ce qu'il n'est pas?

Et que serait notre unité sans l'unité du monde?

Une lutte sans fin contre la cruauté du monde?

Qu'on le veuille ou non, notre sérénité ou unité

est à l'image de celle de notre monde.

 

Et quand il croit l'avoir trouvé au sommet

tout se confond dans l’ambiguïté de 3 langues qui se contredisent

au sujet de leurs 4 horizons.

 

La vie peut elle se réduire au seul bonheur ou au seul malheur?

Le monde pourrait il être contenu tout entier dans une seule langue?

Chaque instant nous emporte comme s'il était une éternité

Pourtant l'éternité échappe à tout ces instants

 

Suffit il d’obéir pour éviter le conflit?

Suffit il de désobéir pour être libre?

Si souvent vouloir revient à cacher que l'on ne sait pas ce que l'on veut!

L'instant le plus dangereux est celui de l'incertitude

Quand la foi ne devrai pas s'allier à la volonté

sa servitude

Mais au contraire s'unir à la bonté, à l'amour et à l'abandon attentif de la compassion

qui ne demande rien et ne sait donc pas qui il sera.

Le bâton qui nous soutient, nous frappe ou nous guide,

est le même bâton.

 

La nature a horreur du vide d'où elle vient et revient

c'est pourquoi elle a inventé l'illusion de la plénitude.

Quand quelque chose disparaît alors quelque chose réapparaît

Encore faut il être à son écoute, le protéger, le nourrir et croire en lui

comme s'il s'agissait d'un petit feu qui surgit et qu'il ne faut ni abandonner ni trop servir.

Alors seulement ce qui devient est ce qu'on aime et non pas ce qu'on aimerai

La différence réside dans le fait que ce qu'on aime,

on l'est devenu ensemble

alors que ce qu'on aimerai n'a rien fait devenir

parce qu'on ne devient jamais seul

car rien ne se transmute seulement pour lui même

où serait donc sa valeur?.

et très vite se blesse dans la propre plaie de son sillage solitaire.

Car l'amour ne se conjugue qu'au présent

tout les autres temps le font mentir à lui même

 

On ne peut pas tout dire sans se contredire

Mais on peut laisser des traces

Comme on sème des graines dans le sillon

qui fleuriront dans ceux qui nous suivront

Une histoire tachée de silence qui laisserai une place à son imagination.

 

The mount of the stones that write!

 

There is no reading without a scroll announcing a treasure

Without A scorch or skin showing the back of the scenery

Where will you write what you do not know

On the other side of death.

 

In the footsteps of a story or in the footsteps of the game

It is always the same hunter and his story

In search of an end or a death by whom he will live and say.

 

On the Mount the Stones write

But who will read them?

Their signs are too free or drunk to understand them

When one says everything one is talking nonsense

And

We did not say anything!

To say something should not it keep quiet another thing?

And to write a story, he must not invent another?

 

The mount of the stones that write scattered the meaning in the jigsaw of the paths

The passing traveler does not know the reading thread

For the purpose to be attained

Has he not lost the sense and unity of what he is not?

And what would be our unity without the unity of the world?

An endless struggle against the cruelty of the world?

Whether we want it or not, our serenity or unity

Is in the likeness of that of our world.

 

And when he thinks he has found it at the top

All is confused in the ambiguity of 3 languages that contradict each other

speaking about his 4 horizons

 

Can life be reduced to happiness or misfortune alone?

Could the world be contained entirely in one language?

Every moment carries us away as if it were an eternity

Yet eternity escapes all these moments.

 

Is it enough to obey to avoid conflict?

Is it enough to disobey to be free?

So often wanting to hide that one does not know what one wants!

The most dangerous moment is that of uncertainty

When faith should not ally itself with the will

His servitude

But on the contrary, to unite with the goodness, the love and the attentive abandonment of compassion

Who asks nothing and therefore does not know who he will be.

The stick that supports us or hits us and guides us, is the same stick.

 

Nature hates the void from which it comes and returns

This is why she invented the illusion of fullness.

When something disappears then something reappears

It is necessary to be listening to him,

to protect him, to maintain him and to believe in him

as if it were a small fire that arises and that we must neither give up nor serve too much.

Then only what becomes is what we love and not what we will love

The difference lies in the fact that what is loved, we have become together,

whereas what we will love has not do anything become

and very quickly gets hurt in the very wound of its solitary trail.

The love only exist now, all his another times are lies!

 

We can not say everything without contradicting ourselves

But we can leave traces

As seeds are sown in the furrow

Which will flourish in those who will follow us

A story stained with silence that will leave a place to his imagination.

 

El monte de las piedras que escriben.

 

No hay lecturas sin un pergamino anunciando un tesoro

sin una corteza o una piel mostrando el otro lado (del decoro)

dónde se escribirá lo que no se sabe

sobre la otra vertiente de la muerte.

 

Caminando sobre las huellas de una historia

o sobre las huellas de una presa

esta siempre el mismo cazador y su historia

en búsqueda de un final o una muerte por quien vivirá y contará.

 

Arriba, en el monte las piedras escriben

pero quien las leerás?

Sus signos son demasiado libre o borrachos para que sean comprensible

Cuando lo dijimos todo, hemos dicho cualquier cosa

y entonces no hemos dicho nada!

Para decir algo, tendremos que callar otro algo?

Y para escribir una historia, quizás tendremos que inventar otra?

 

El monte de las piedras que escriben

ha desparramado el significado en el rompecabezas de sus senderos

el viajero de paso, no sabe cual es el hilo de su lectura

por la meta a alcanzar que se propone

no habrá perdido el significado de lo que no es?

Y que sería nuestra unidad sin la unidad de nuestro mundo?

Una lucha despiadada en contra de la crueldad del mundo.

Que lo queramos o no, nuestra serenidad o unidad

es a la semejanza de aquella de nuestro mundo.

 

Cuando cree haberla encontrada en la cumbre

todo se confunde en la ambigüedad de 3 lenguas que se contradicen

hablando de sus 4 horizontes.

 

Podría la vida solo reducirse a una única felicidad o desgracia?

Podría el mundo ser contenido entero en una solo lengua?

Cada instante nos lleva como si fuera una eternidad

no obstante la eternidad escapa a todos sus instantes.

 

Bastaría obedecer para rehusar del conflicto?

Bastaría desobedecer para alcanzar la libertad?

A menudo querer es como esconder que no sabemos lo que queremos!

El instante el mas peligroso es aquel de la incertidumbre

cuando la fe no debería aliarse a la voluntad

su esclavitud

sino mas bien unirse a la bondad, al amor y la atente entrega compasiva

que no pide nada y no sabe entonces quien será .

El bastón que nos sostiene, nos golpea o nos guía es el mismo bastón.

 

La naturaleza no quiere al vacío (de a dónde viene y se devuelve)

por eso invento la ilusión de la plenitud.

Cuando algo desaparece entonces algo reaparece

a la condición de estar a su escucha, de protegerlo, de nutrirlo y creer en él

como si fuera un pequeño fuego que nace

y que debemos cuidar sin demasiado servir.

Solo entonces lo que viene es lo que amamos y no lo que quisiéramos.

La diferencia está en que lo que amamos es lo que nos volvimos juntos

cuando lo que quisiéramos no se ha hecho juntos

y no hizo que nada volviera se verdaderamente

porque nadie se transmuta solo por si mismo

dónde estaría su valor?.

y muy rápido nos herimos en la llaga del nuestras huellas solitarias.

El amor solo se conjuga al presente

todos los otros tiempos solo lo hacen mentir.

 

No se puede decirlo todo sin contradecirse

pero podemos dejar rastros

como sembrando semillas en el surco

que florecerán en los que nos seguirán.

Una historia manchada de silencio

dejando rincones a su imaginación.